Les membres du grin ont été surpris d’apprendre, par le biais des médias, la décision de retrait du Mali de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao). Ils estiment que les Maliens auraient dû être consultés avant une telle décision, mais espèrent tout de même que cela ne conduira pas à l’inconnu.
Le 28 janvier, le Mali, le Niger et le Burkina Faso ont publié un communiqué conjoint annonçant leur retrait immédiat de la Cédéao. Ces trois États sahéliens ont ainsi choisi de rompre avec la France sur la scène internationale, en poussant les ambassadeurs et les forces françaises à quitter leur pays, et en se tournant politiquement et militairement vers la Russie.
Au sein du grin, les membres se posent des questions sur l’impact de cette décision sur nos passeports actuels, sur la nouvelle carte d’identité biométrique qui a récemment remplacé la carte Nina, ainsi que sur nos déplacements vers les autres pays de la Cédéao. Ils supposent que les autorités de la transition ont déjà envisagé des solutions à ces problèmes, car sinon cela pourrait avoir des conséquences sur notre nation.
Il est important de souligner que cette décision de retrait de la Cédéao est un événement majeur qui pourrait avoir des répercussions sur de nombreux aspects de la vie des Maliens. Les conséquences diplomatiques, économiques et sociales de cette décision restent à évaluer, mais il est certain que cela marquera un tournant dans les relations entre le Mali et les pays de la Cédéao.
En conclusion, les membres du grin sont préoccupés par les conséquences de ce retrait de la Cédéao, mais espèrent que les autorités de la transition ont déjà envisagé des solutions pour atténuer les effets négatifs potentiels. Il reste à voir comment cette décision influencera l’avenir du Mali sur la scène internationale.