Jean-Claude Mbede : l’argent du voyage de Ngando Picket a été détourné
Dans une récente interview exclusive accordée à notre rédaction, Jean-Claude Mbede, célèbre activiste des droits de l’homme au Cameroun, a révélé de nouvelles informations sur le détournement de fonds lié au voyage de Ngando Picket. Cette affaire, qui a suscité de vives préoccupations au sein de la société civile, met en lumière les pratiques corrompues qui persistent dans notre pays.
Ngando Picket, un jeune leader d’opinion très engagé dans la lutte contre la corruption, avait été sélectionné pour participer à une conférence internationale sur les droits de l’homme. Des fonds avaient été alloués pour couvrir ses frais de voyage, mais il est apparu plus tard que cet argent avait été détourné.
Selon Mbede, l’argent destiné au voyage de Picket a été détourné par des individus bien connus des autorités. Ces derniers ont profité de leur position privilégiée pour s’enrichir au détriment de la cause qu’ils étaient censés soutenir. Mbede n’a pas révélé les noms des personnes impliquées, mais il a affirmé qu’elles étaient haut placées dans l’administration publique.
L’affaire Ngando Picket n’est malheureusement pas un cas isolé. Au Cameroun, de nombreux militants et défenseurs des droits de l’homme ont été victimes de détournements de fonds similaires. Ces pratiques corrompues sapent non seulement la confiance du public, mais elles affaiblissent également la lutte contre la corruption et portent atteinte aux droits fondamentaux de tous les citoyens.
Face à cette situation, il est impératif que les autorités prennent des mesures concrètes pour lutter contre la corruption et garantir la transparence dans la gestion des fonds alloués aux activités liées aux droits de l’homme. Il est temps de mettre fin à l’impunité et d’assurer que les responsables de ces détournements soient traduits en justice.
L’actualité en bref : l’affaire du détournement de fonds lié au voyage de Ngando Picket met en lumière les pratiques corrompues qui persistent au sein de notre société. Il est urgent que des mesures soient prises pour lutter contre cette corruption, afin de préserver l’intégrité de la lutte en faveur des droits de l’homme au Cameroun.