Le Directeur de l’Hôpital Laquintinie dément les attaques infondées concernant les frais de messe pour les levées de corps
Le Directeur de l’Hôpital Laquintinie de Douala, Dr Joseph Gody Jean-Louis, a récemment démenti les accusations infondées selon lesquelles l’hôpital facturait des frais de messe pour les levées de corps.
Ces allégations ont été diffusées sur les réseaux sociaux, suscitant une vague d’indignation parmi les Camerounais. Certains ont même prétendu que ces frais étaient obligatoires et injustifiés.
Cependant, le Dr Joseph Gody Jean-Louis a réfuté ces accusations, affirmant qu’il n’y a aucune politique en place qui oblige les familles à payer des frais de messe pour les levées de corps. Il a souligné que l’hôpital respecte les traditions et les croyances religieuses des patients et de leurs familles, mais qu’il ne peut pas imposer de frais religieux.
Le Directeur a expliqué que l’hôpital propose des services de pastorale pour les patients et leurs familles qui le souhaitent. Ces services comprennent des prières, des bénédictions et d’autres rituels religieux, mais ils sont toujours facultatifs et ne font pas l’objet de frais supplémentaires.
Le Dr Joseph Gody Jean-Louis a également précisé que si les familles souhaitent organiser une messe en mémoire de leur être cher décédé, elles doivent le faire en dehors de l’hôpital et à leurs propres frais. L’hôpital ne facture pas ces services religieux et n’a pas l’intention de le faire à l’avenir.
Il a exprimé sa préoccupation quant à la propagation de fausses informations et a appelé les Camerounais à vérifier les faits avant de partager des accusations infondées sur les réseaux sociaux. Il a souligné que de telles allégations peuvent nuire à la réputation de l’hôpital et semer la confusion parmi les patients et leurs familles.
L’actualité en bref : le Directeur de l’Hôpital Laquintinie a démenti catégoriquement les accusations selon lesquelles l’hôpital facturerait des frais de messe pour les levées de corps. Il a souligné que l’hôpital respecte les traditions religieuses des patients et de leurs familles, mais qu’il ne peut pas imposer de frais religieux. Il a également appelé à la vérification des faits avant de partager des informations sur les réseaux sociaux pour éviter la propagation de fausses informations.