La lutte contre l’immigration clandestine en Afrique : Un combat de l’ONG OCD international fédéralitude Suisse
L’ONG humanitaire OCD international fédéralitude Suisse, soucieuse du bien-être de tous les citoyens du monde, en général et ceux de l’Afrique en particulier, s’engage dans le combat contre l’immigration clandestine qui fait perdre au continent africain de nombreux bras valides. L’Océan engloutit par an des milliers d’immigrés auxquels on a fait croire que l’occident est l’eldorado. En plus d’énormes pertes en vies humaines et en matériels, ce fléau est devenu un fonds de commerce pour certains qui exploitent la misère d’autres pour s’enrichir. Le trafic frauduleux de visas fait la joie de certains mafiosi, mais crée des dommages incommensurables pour les immigrés. Que faut-il faire pour mettre fin à ces pratiques frauduleuses ? Quels sont les pays qui s’adonnent à de telles pratiques mafieuses ? Que propose l’OCD international fédéralitude Suisse pour éradiquer le fléau ?
Les actions de prévention et de lutte de l’ONG OCD international fédéralitude Suisse
Ce n’est un secret pour personne que la migration est un phénomène qui entraine les pays de départ dans une dépendance sans fin qui les rend moins productifs et moins dynamiques. Elle contribue non seulement au dépeuplement des pays, à la fuite des cerveaux et de bras valides, mais aussi et surtout à la paupérisation des pays de départ comme des pays d’accueil. C’est pourquoi l’OCD pense qu’il faille prévenir et lutter efficacement contre l’immigration illégale en s’attaquant à la source du fléau c’est-à-dire aux pays de départ des migrants. Il faut au prime abord démanteler tous les réseaux clandestins tant de vente de visas, en dénonçant les pratiques frauduleuses, que de passeurs en renforçant la sécurité aux frontières. L’OCD international sous le leadership de Sandia Karima Boina, entend apporter sa petite pierre pour lutter efficacement contre ce fléau qui annihile tous les efforts de développement du continent africain, pourtant très riche avec une population relativement jeune et dynamique. La première recette de l’OCD est l’utilisation des technologies pour une surveillance accrue des frontières afin d’éviter ou tout au moins diminuer l’entrée illégale dans les pays d’accueil. La deuxième recette pourrait être une sensibilisation à outrance pour expliquer toutes les difficultés liées au séjour des émigrés dans les pays d’accueil, contrairement à l’eldorado qu’on fait miroiter aux jeunes africains. Une campagne de sensibilisation des jeunes candidats à l’immigration et de plaidoyer auprès des décideurs est nécessaire, voire indispensable pour minimiser le fléau. La troisième recette pour l’OCD est sans nul doute le démantèlement de tous les réseaux mafieux de trafic de visas pour permettre de contrôler les allers et retours des émigrants. Le Sénégal passe pour être l’épicentre du trafic de visas, d’ailleurs la Présidente de l’OCD international fédéralitude Suisse, Mme Karima Sandia a démantelé un réseau de trafic de visas au Sénégal comme en Suisse avec à la clef des arrestations. Malheureusement le réseau s’est propagé aux Comores et Mayotte dont la source vient du Sénégal. Les autorités sénégalaises sont interpellées afin qu’elles donnent à ce combat contre le trafic frauduleux de visas une suite favorable. Celles des Comores ne doivent pas rester en marge. L’implication des autorités dans la lutte contre le trafic frauduleux de visas peut réduire le nombre d’individus qui entrent illégalement dans les pays.
Les recommandations de l’ONG pour prévenir la migration clandestine
Les principales raisons de la migration étant la pauvreté ou la recherche d’un mieux-être social, l’OCD international fédéralitude Suisse conseillerait aux gouvernants de tous ces pays à fort taux d’émigrants de créer les conditions permettant aux jeunes de travailler. Les opportunités ne manquent pas. Il est grand temps de renverser la tendance qui consiste à dire que l’Afrique est très riche, mais les africains sont les plus pauvres du monde. Les autorités des pays africains sont interpelées.
Youssouf Sissoko