Les autorités camerounaises demandent un délai supplémentaire pour finaliser les procédures de vérification avant la première rencontre avec Actis pour le rachat de ses parts
Selon les dernières informations, les pouvoirs publics camerounais ont officiellement demandé un délai de deux mois supplémentaires pour terminer toutes les procédures de vérification du dossier avant la première rencontre avec Actis, en vue du rachat de ses parts à hauteur de 51%. Cette demande officielle laisse entendre qu’il reste encore des étapes à franchir avant la conclusion de l’accord.
Cependant, des sources proches du dossier affirment que la véritable raison de cette demande de délai supplémentaire se trouve ailleurs. Il semblerait que les autorités camerounaises souhaitent prendre le temps nécessaire pour étudier attentivement les détails de l’opération et s’assurer de la solidité financière d’Actis. Cette précaution vise à garantir que l’opération de rachat se déroule dans les meilleures conditions possibles pour le pays.
Les autorités camerounaises veillent à la solidité financière d’Actis
En demandant deux mois supplémentaires pour finaliser les procédures de vérification, les autorités camerounaises montrent leur souci de s’assurer que l’entreprise qui rachètera les parts détenues par l’État dans la société soit financièrement solide. Cette démarche vise à minimiser les risques potentiels pour le pays et à garantir que l’opération se fasse dans l’intérêt national.
Actis est une société d’investissement basée au Royaume-Uni, spécialisée dans les marchés émergents. Elle est présente dans de nombreux pays d’Afrique et a déjà réalisé plusieurs investissements au Cameroun. Cependant, pour les autorités camerounaises, il est essentiel de s’assurer que l’entreprise dispose des ressources financières nécessaires pour soutenir le développement et la croissance de la société dans le pays.
En prenant le temps de vérifier la solidité financière d’Actis, les autorités camerounaises montrent leur engagement envers la transparence et la rigueur dans les transactions commerciales. Cela démontre également leur volonté de protéger les intérêts du pays et de garantir que l’opération de rachat se déroule dans les meilleures conditions possibles.
En conclusion, les autorités camerounaises ont demandé un délai supplémentaire de deux mois pour finaliser les procédures de vérification avant la première rencontre avec Actis. Cette demande témoigne de leur souci de garantir la solidité financière de l’entreprise qui rachètera les parts détenues par l’État. Cette démarche vise à minimiser les risques potentiels et à s’assurer que l’opération se fasse dans l’intérêt national.