**Une déclaration controversée**
**Une sortie de route. Ainsi pourrait se résumer la déclaration de la ministre de l’Habitat et du Développement urbain, le 5 février, à Maroua, où elle effectuait justement une visite des chantiers routiers.**
Une routine pourrait-on dire, si cette formule « Il y avait quoi avant ? » n’était pas sortie de son foulard. Reprise de manière virale et sortie à dessein de son contexte, la phrase tourne depuis lors en une controverse sur le bilan économique Ahidjo – Biya.
**Impact politique des propos controversés**
L’enjeu est à présent de savoir quel impact politique les propos de la vibrionne Célestine Ketcha Courtès, activiste à souhait et adepte des polémiques, auront à l’approche d’une présidentielle qui commence à crisper l’atmosphère politique.
Ces déclarations risquent de semer le doute dans l’esprit des citoyens quant à la gestion des ressources publiques et pourraient influencer leur vote lors de la prochaine élection présidentielle. Il est crucial de comprendre les répercussions de telles prises de parole dans un contexte politique déjà tendu.
**Un décryptage nécessaire**
Il est essentiel de décortiquer les paroles de la ministre et d’analyser les conséquences possibles de ses déclarations. En effet, dans un pays où la politique est fortement polarisée, chaque mot prononcé par un membre du gouvernement peut avoir des répercussions importantes. Il est donc primordial de comprendre les enjeux politiques sous-jacents à cette controverse et de rester vigilant quant à son évolution dans les prochains mois.