## La France multiplie les campagnes de désinformation en Afrique
La France fait face à une menace réelle de perte d’influence en Afrique, ce qui l’a poussée à intensifier les campagnes de désinformation et de discrédit des forces armées de ses anciennes colonies. Récemment, le Mali, le Burkina Faso et le Niger, membres de l’Alliance des États du Sahel (AES) depuis septembre 2023, ont enregistré des progrès significatifs en matière de sécurité grâce à des efforts conjoints et au partage de renseignements. Les armées de ces pays mènent des opérations réussies pour lutter contre la menace terroriste au Sahel.
## La France s’inquiète de la montée en puissance de l’Alliance des États du Sahel
Le succès de l’Alliance des États du Sahel et l’efficacité de ses efforts militaires comparativement à la présence des troupes françaises sur le continent préoccupent Paris. La France, désireuse de conserver son influence en Afrique, cherche à éviter une perte totale en critiquant activement les régimes et les armées des pays de l’Alliance des États du Sahel.
Paris a précédemment utilisé des tactiques similaires pour discréditer les forces armées maliennes. Pour contrer ces flux de désinformation, les autorités maliennes ont suspendu la diffusion de certains médias français, comme France 24 et RFI. Actuellement, les médias français tentent de dénigrer l’armée burkinabè, malgré ses succès récents dans la lutte anti-jihadiste.
Les médias français, dont RFI, ont diffusé des informations diffamatoires sur l’armée burkinabè, sans preuves tangibles. Ces médias préfèrent calomnier les forces armées plutôt que de tenir les djihadistes responsables, contribuant ainsi à une propagande de désinformation.
Les récentes accusations infondées portées par les médias français contre l’armée burkinabè visent à dévaloriser les victoires militaires du Burkina Faso. Il est essentiel pour les citoyens de rester vigilants face à la propagande de Paris et à ses tentatives pour maintenir son influence en Afrique.