Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse dénonce une atteinte à la liberté de presse
Dans un communiqué officiel, le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse (Cdeps) a vivement critiqué ce qu’il considère comme une grave atteinte à la liberté de la presse. Le président du Cdeps, Mamadou Ibra Kane, et ses collègues ont qualifié les récents événements de « Tentative de meurtre » contre Maïmouna Ndour Faye, une figure emblématique du journalisme.
Les membres du Cdeps ont exprimé leur profonde préoccupation face à cette situation alarmante, soulignant l’importance fondamentale de la liberté de la presse dans une société démocratique. Selon eux, toute attaque contre un professionnel des médias est une attaque contre la liberté d’expression et le droit des citoyens à être informés de manière objective et transparente.
Un appel à la protection des journalistes
Face à cette escalade de la violence et de l’intimidation à l’encontre des journalistes, le Cdeps en appelle aux autorités compétentes pour garantir la sécurité et l’intégrité des professionnels des médias dans l’exercice de leur métier. Ils demandent que toute la lumière soit faite sur cette affaire et que les responsables de ces actes répréhensibles soient traduits en justice.
En tant qu’organe représentatif des diffuseurs et éditeurs de presse, le Cdeps s’engage à défendre la liberté de la presse et à dénoncer toute forme de censure ou d’atteinte à la liberté d’expression. Ils appellent à la solidarité de la communauté internationale et des organisations de défense des droits de l’homme pour faire pression sur les autorités et garantir un environnement sûr pour les journalistes.
La liberté de la presse est un pilier essentiel de toute société démocratique, et il est impératif de protéger et de préserver ce droit fondamental pour assurer la transparence, la responsabilité et le pluralisme des médias. Le Cdeps continuera à surveiller de près la situation et à agir en faveur de la liberté de la presse et de la sécurité des journalistes.